Présentation du Semestre à l’Université de Sherbrooke, Audran Bert
Pour ma première année de Master Intelligence Artificielle à Avignon Université, ayant toujours voulu vivre à l’étranger et plus particulièrement au Canada, j’ai saisi l’opportunité d’échange internationaux proposée par l’université. J’ai postulé pour le premier semestre à l’université de Sherbrooke au Canada. Pour assurer la validation de mon semestre à mon retour, j’ai choisi des cours en rapport avec mon cursus avignonnais. Je suis donc un cours sur la Science des données ainsi qu’un cours sur les Techniques d’apprentissage (Machine learning). Ayant pris l’option ILSEN dans le cursus IA, j’ai donc choisi une matière correspondant à ce cursus : Techniques de vérification et de validation (cours sur la vérification formelle d’algorithme en utilisant des langages comme CTL ou LTL). Pour compléter, j’ai pris un cours d’anglais pour continuer de m’améliorer dans cette langue, mon séjour à l’étranger étant en terres francophones.
J’ai choisi cette université car elle semblait avoir un bon cadre de vie en plus de présenter de bons cours. C’est une belle université car elle a notamment un petit lac et des petites rivières artificielles. Il y a beaucoup de nature au sein du campus et dans ses alentours. En effet, ma chambre universitaire est à 50m de la forêt du Mont Bellevue qui est une forêt typique canadienne. Le campus étant beaucoup plus grand que celui d’Avignon Université j’avais du mal au départ à trouver les salles où je devais avoir cours. Contrairement à Avignon, il n’y pas beaucoup d’heures de cours en présentiel cependant il est nécessaire de faire beaucoup de travail personnel.
L’université de Sherbrooke met la priorité sur l’écologie et c’est même un atout qu’il mette beaucoup en avant pour attirer des étudiants. Pour aller dans ce sens, ils ont notamment les voitures de la sécurité qui sont électriques ou encore une gestion du compost au sein du campus. Cependant, la nuit, la plupart des lumières et des ordinateurs restent allumés dans les bâtiments. De plus, à la moindre hausse des températures ils allument la climatisation, ce qui s’oppose avec ce que l’université prône.