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Author: Angelo Adragna

Mon retour d’expérience de Montréal à l’UdeM

Mon retour d’expérience de Montréal à l’UdeM

Je ne compte pas tomber dans un récit à l’eau de rose en disant que mon voyage universitaire au Canada a été une vraie expérience extraordinaire et formatrice. Quand bien même, qu’il y ait une part de vérité dans cette expérience assez sympathique.

Ressenti global

Pendant ces quelques mois, j’ai eu la chance de découvrir un pays incroyable, une culture similaire dans bien des aspects. Quelques différences et politesses notables distinguent la France ; néanmoins, l’acclimatation fut facile et rapide. Je n’ai malheureusement pas pu pleinement profiter du cadre étudiant hyper stimulant de l’UdeM. Ce séjour m’a beaucoup appris au niveau académique, un peu moins sur moi-même, ma future carrière ou la vie en général.

Un apprentissage légèrement différent

En dépit de la distance avec ma famille et mes proches, j’ai l’habitude de gérer mon quotidien de manière indépendante. Vivre dans un environnement doté d’une influence anglophone m’a permis d’en apprendre plus sur les expressions du quotidien. L’élément académique dont je suis le plus déçu est l’absence de séances de travaux dirigés. Bien que les examens se basent surtout sur des questions ouvertes et des QCM imposant une bonne connaissance, voire poussée pour bien réussir, les exercices pratiques deviennent beaucoup plus difficiles sans entraînement.

Le contact socioprofessionnel

Je n’ai pas exploité les relations entre étudiants à l’aide des différents ateliers, clubs et activités, hormis les intégrations au début du semestre. Malheureusement, les matières qui m’ont été assignées et que je n’ai pas forcément choisies faisaient partie de celles demandant le plus d’implication pour un cursus de Baccalauréat (Licence en France).

J’ai cependant sympathisé avec quelques étudiants, avec qui je compte garder contact et que je trouve fort sympathiques.

Pas d’avancée pour ma future carrière

Professionnellement, ce voyage a été un progrès modéré de mes compétences. J’ai appris énormément de choses sur l’apprentissage machine et la science des données, que ce soit en termes de pratique ou de théorie. J’ai également appris que l’apprentissage machine et la science des données ne sont pas les domaines qui font vibrer ma corde sensible, du moins pas de la façon dont je les ai abordés.

Je dénote cependant un événement marquant grâce au formidable Monsieur Benoit Baudry, professeur titulaire de la faculté des arts et des sciences dans le département d’informatique et de recherche opérationnelle. Nous avons réalisé la visite du célèbre studio de développement de jeux vidéo Ubisoft Montréal.

La conférence et la visite d’entreprise auxquelles j’ai assisté m’ont donné une idée plus concrète du monde moderne du travail et des opportunités dans mon domaine. J’ai pu discuter directement du bien-être au travail ainsi que de différents aspects des métiers dans le monde du développement ; ce fut très inspirant.

Une leçon de vie globale

De manière plus générale, ce séjour ne m’a pas forcément appris à sortir de ma zone de confort. Chaque galère (et il y en a eu quelques-unes) était une chance d’apprendre. Ce fut un rappel de mon année de classe préparatoire en ressuscitant toute la force d’abnégation que je pouvais fournir face à des enseignements qui n’ont pas éveillé ma curiosité et m’ont demandé de fournir énormément de travail. Ma persévérance a été mise à rude épreuve.

Point positif, j’ai aussi adoré découvrir la culture canadienne, leur manière de voir les choses, leur respect de l’environnement et leur ouverture d’esprit. Cela m’a donné envie de, pourquoi pas, faire carrière dans cette extraordinaire ville.

Ce voyage m’a donné envie de continuer à explorer le monde, à rester curieux et à m’ouvrir à d’autres cultures. Chaque expérience, aussi simple soit-elle, a enrichi ma vision du monde.

Si c’était à refaire…

SI c’était à refaire… et bien, je le referais sans hésitation (j’aimerais bien le refaire d’ailleurs). Ce voyage, malgré ses hauts et ses bas, m’a offert des expériences uniques et des apprentissages précieux qui méritent d’être revécus et enrichis malgré la part de souffrance.

Si je devais refaire cette aventure, je garderais cette envie de tout essayer et de me jeter dans toutes les opportunités. Mais je préparerais mieux certaines choses. Par exemple, je choisirais des matières qui m’inspirent. Je ferais en sorte de dégager plus de temps pour profiter de la ville et de ses richesses. Et puis, je m’impliquerais encore plus dans les activités locales et les groupes étudiants pour maximiser les échanges.

Conclusion

Ce voyage universitaire au Canada a été une expérience à la fois enrichissante et pleine de défis. Bien que tout n’ait pas été parfait, j’en ressors plus sage (désormais la nature m’apaise tel un câble USB qui se branche du premier coup), avec des souvenirs et des apprentissages précieux. Alors, si jamais vous hésitez à tenter l’aventure, allez-y, ne serait-ce que pour voir jusqu’où vos efforts peuvent vous mener. Vous en ressortirez, sans aucun doute, avec une nouvelle perspective sur vous-même et sur le monde…

Vie et culture à Montréal

Vie et culture à Montréal

Partons à la découverte de Montréal. Cette ville est un mélange surprenant entre l’Amérique du Nord et l’héritage francophone, qui change pas mal du quotidien en France. Ici, tout semble un peu plus détendu. Le plus flagrant se distingue par les relations, le rythme de vie, et même la manière d’affronter les saisons. Entre la chaleur des Montréalais, la diversité culturelle et des petites habitudes bien différentes des nôtres. La vie à Montréal offre un nouveau regard sur ce que peut être le quotidien dans une ville qui allie dynamisme économique, richesse culturelle et une identité bien à elle…

Architecture et urbanisation

(Non ne vous inquiétez pas, le titre porte à confusion mais ce n’est pas ma dissertation du bac blanc de philosophie ! )

Montréal est une ville où l’architecture fusionne différentes influences historiques et modernes. Les maisons en rangée en brique rouge ainsi que les escaliers extérieurs en colimaçon sont typiques du 19ᵉ siècle. Ce style, très répandu dans des quartiers comme le Plateau ou Rosemont, est un héritage direct de l’époque coloniale anglaise et de l’urbanisme européen de l’époque.

L’architecture industrielle, particulièrement présente à Griffintown, témoigne de l’essor économique de Montréal au début du 20ᵉ siècle. Les entrepôts et usines en briques sont désormais des lofts modernes, un style qui rappelle les grands centres industriels comme New York ou Chicago. Les grandes fenêtres, les murs en briques apparentes et les poutres métalliques sont des éléments caractéristiques de ce style.

Dans le centre-ville, les gratte-ciel modernes en verre et en acier, typiques des grandes villes nord-américaines, contrastent fortement avec les architectures plus anciennes de la ville. Ce style est fortement inspiré par des métropoles comme New York, avec des bâtiments emblématiques de l’architecture moderne qui se dressent dans le skyline montréalais.

Le Vieux-Montréal, avec ses rues pavées et ses bâtiments en pierre grise, reflète l’influence française et européenne du 17ᵉ et 18ᵉ siècle. Des édifices comme la basilique Notre-Dame ou le marché Bonsecours rappellent l’architecture coloniale française, avec des éléments baroques et classiques qui apportent une dimension historique à la ville.

Le quartier chinois, est pour moi, le plus dépaysant. Avec ses lanternes, ses pagodes et ses toits traditionnels ainsi que ses spectacles assez récurrants sur la place Sun Yat-sen . Cette influence asiatique, en particulier chinoise, crée un contraste surprenant avec le reste de la ville.

Le Mont Royal, quant à lui, est un véritable espace naturel en ville, un contraste apaisant avec l’urbanisme environnant. L’aménagement paysager et les promenades autour du mont, inspirés par les jardins publics européens et américains, offrent un espace de respiration à la fois naturel et métropolitain. Il existe de nombreux circuits de randonnées avec différents belvédères offrant un panorama spectaculaire qui semble englober la ville entière, du centre-ville aux rives du fleuve Saint-Laurent.

Le rythme de vie

Le rythme de vie à Montréal a quelque chose de particulier et décalé par rapport à la France. Il est à la fois détendu et dynamique. Par exemple, les magasins ferment souvent plus tôt, surtout le week-end, ce qui peut surprendre au début. Beaucoup de commerces ferment vers 18h ou 19h, et le dimanche, c’est encore plus calme. Mais cela n’empêche pas la ville de vivre à un bon rythme, avec des cafés et des restaurants qui restent ouverts tard dans la soirée, surtout en été, où la ville semble ne jamais s’arrêter.

À Montréal, il est tout à fait normal de manger pendant un cours magistral, que ce soit une collation rapide ou même un repas. Les étudiants aiment grignoter ou boire un café tout en suivant leurs cours, un geste courant dans la culture décontractée de la ville. Les universités offrent une variété de cafétérias où l’on peut trouver de tout, des sandwiches aux plats chauds, mais étonnamment, il n’y a pas vraiment de « restaurants universitaires » comme on pourrait en trouver en France. Les cafétérias, bien que pratiques, ne proposent généralement pas de menus élaborés, et beaucoup préfèrent se préparer leur propre repas ou acheter quelque chose dans les nombreux petits commerces autour des campus. Cette flexibilité alimentaire est un signe de la simplicité et l’adaptabilité, même dans le cadre académique.

Les moyens de transport à Montréal sont un véritable atout pour se déplacer facilement. Le métro, avec ses quatre lignes, et le réseau de bus couvrent toute la ville, offrant une grande flexibilité. C’est pratique pour aller d’un quartier à l’autre, même si la ville est assez grande. Apparemment beaucoup de Montréalais choisissent aussi le vélo ou le système de vélo-partage BIXI, beaucoup moins fréquent lors des températures proches de 0 degrés.

Une anecdote étonnante pour un Français, c’est que l’alcool peut être acheté dans des endroits inattendus. Non seulement dans les SAQ (Société des Alcools du Québec), étant l’équivalent d’un bureau de tabac mais pour l’alcool. Mais aussi dans certaines stations-service, ce qui peut paraître étrange et en même temps assez logique de réunir les stocks d’éthanol du pays. ATTENTION l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et je ne vous incite en aucun cas à vérifier cette anecdote par vous même.

L’atmosphère est certes plus tranquille l’hiver, mais contrairement à ce qu’on pourrait croire, les gens se retrouvent dehors, malgré le froid, pour profiter de la neige et des activités hivernales. Cet aspect de convivialité rend la ville d’autant plus agréable.

Les interactions sociales

Les Montréalais ont une facilité naturelle à aborder les gens avec simplicité. Par exemple, les conducteurs s’arrêtent systématiquement bien en avance pour laisser passer les piétons, un geste qui témoigne du respect et de la courtoisie qui caractérisent la ville. Cette attitude s’étend également aux interactions humaines où il est courant de tutoyer quelqu’un presque immédiatement, même lors d’une première rencontre, renforçant ainsi l’ambiance décontractée et amicale.

Les discussions, qu’elles aient lieu entre amis ou avec des inconnus, sont souvent simples et naturelles. Dans un café ou sur un banc du parc, il n’est pas rare de discuter de tout et de rien avec des Montréalais, toujours prêts à échanger un sourire et quelques mots. Cette convivialité crée un environnement où les interactions sociales sont faciles et accessibles.

À Montréal, le flux de vie semble constant. Peu importe l’heure, vous trouverez toujours des Québécois dans les rues, les bars et les cafés. Ce qui frappe, c’est la diversité des gens, de toutes origines et de tous horizons, créant une ville vibrante et accueillante.

Un autre aspect marquant est l’importance des pourboires, ou « tips », qui sont très appréciés dans les restaurants, les cafés, les bars et même pour les services comme les coiffeurs ou les chauffeurs de taxi. Ce geste fait partie de la culture locale et est un moyen d’exprimer la gratitude.

Enfin, un détail surprenant mais fréquent à Montréal, c’est la présence de petites souris dans certains lieux publics. Bien loin des rats parisien ou marseillais, ces souris font partie du décor urbain. Cela s’explique en partie par l’habitude de laisser du mobilier sur les trottoirs, créant un accès facile aux poubelles pour ces petites créatures. Ce phénomène, bien que surprenant, fait partie de l’esprit communautaire de la ville et des petites imperfections que les Montréalais acceptent avec un certain humour.

Bonus

À Montréal, l’écureuil est presque une célébrité locale, se promenant fièrement dans les parcs et les rues comme si la ville lui appartenait, un peu comme le pigeon en France, mais avec un peu plus de classe et de poils.

Conseils et astuces pour bien préparer son séjour Montréalais

Conseils et astuces pour bien préparer son séjour Montréalais

Vous partez bientôt pour un échange universitaire à Montréal ? Pour que votre séjour se passe sans accrocs, un peu de préparation est indispensable. Dans cet article, vous trouverez des conseils pratiques pour dénicher un logement, découvrir quelques adresses incontournables et faciliter votre installation. Alors, prenez une bonne paire de chaussures car vous allez beaucoup marcher avant d’avoir votre carte de métro, et suivez le guide pour faire de votre échange universitaire une réussite et profiter pleinement de la vie montréalaise !

Le Voyage : Ce Qu’il Faut Savoir au sujet du vol

Accrochez vos ceintures, car le vol va être long ! En effet, il faut compter entre 7h et 8h de vol sans escale. Si vous partez à plusieurs pour Montréal, je vous conseille de réserver ensemble, car parfois des promotions sont applicables. Enfin, pour avoir les billets les moins chers possibles, je vous conseille paradoxalement les vols sans escale, mais surtout de réserver vos billets le plus tôt possible. Dans notre cas, nous sommes partis à quatre et avons pris les billets aller-retour au même moment, pour moins de 800 euros par personne en réservant en mai avec Air Transat.

Si vous souhaitez faciliter votre passage à l’aéroport, je vous invite à enregistrer vos bagages en ligne. Il est possible de le faire à partir de 24 heures avant votre heure de vol, pas avant. Pensez également à respecter le nombre de bagages autorisé, leurs dimensions et leur poids, conformément aux critères imposés par votre vol (trouvables sur Internet et indiqués lors de l’achat des billets).

Je vous suggère vivement de remplir le formulaire ArriveCan (lien en ressource). Celui-ci peut être rempli jusqu’à 72 heures avant l’arrivée au Canada et vous permet d’éviter la longue queue une fois arrivé à l’aéroport YUL (Aéroport International Montréal-Trudeau) pour passer par une file accélérée.

Petit conseil : prenez des écouteurs filaires pour l’avion. Sur ce type de long-courrier (en tout cas avec Air Transat), une fois bien installé dans votre siège, vous aurez face à vous une tablette qui permet de regarder gratuitement une sélection de films, séries, podcasts et autres divertissements. Vous n’aurez d’autre choix que d’utiliser des écouteurs filaires. Ils peuvent être achetés dans l’avion mais à un coût élevé.

Une fois arrivé à l’aéroport, vous pourrez commander un Uber, un taxi ou bien prendre un ticket de bus pour vous rendre en ville où l’accès aux transports sera mieux desservi, et enfin vous rendre à votre logement. Organisez vous en avance, ne découvrez pas cela sur place !

Trouver un Logement à Montréal

Voyager, c’est bien, mais se loger, c’est mieux. Dans notre cas, les résultats de candidature de mobilité sont tombés fin janvier, mais cela peut varier. Je vous conseille cependant de rechercher un logement le plus tôt possible. J’ai cherché de façon intensive pendant deux semaines en mai, et avec du recul, je trouve que je m’y suis pris un peu tard. Il est préférable de commencer à chercher dès février pour être sûr de trouver le logement le moins cher possible et le plus proche de votre université.

Les différents sites pour trouver des logements sont listés en ressources. La colocation ou le logement chez l’habitant reste le moins cher et souvent le plus convivial. Un logement coûte entre 500 et 1 000 euros par mois ; je vous recommande de privilégier ceux où toutes les charges sont comprises dans le prix !

Pensez aux Dates : S’organiser pour la Rentrée

Faites attention aux dates ! La rentrée débute la première semaine de septembre pour le semestre d’automne et se termine aux alentours de mi-décembre. Votre calendrier universitaire est disponible sur le site de votre université assez tôt dans l’année.

Attention, toute location débute le premier du mois, donc vous ne pourrez pas entrer dans votre logement avant le 1er septembre ou le 1er août. L’idéal serait d’arriver entre le 19 et le 25 août et non pas, comme nous, le 27 août, car sur place vous aurez de nombreuses démarches à réaliser.

Je vous suggère soit de réserver votre logement à partir du 1er août, soit de prévoir un hébergement temporaire (Booking, Airbnb, etc.) en attendant de pouvoir emménager. C’est ce que nous avons fait, et cela nous a permis de faire des économies.

Faire ses Courses à Montréal : Bons Plans et Astuces

Félicitations, vous êtes arrivé sain et sauf à Montréal et avez un toit sur la tête ! Bien que le repas soit offert dans l’avion, la faim va se faire sentir assez rapidement.

Pour vos quatre prochains mois, je vous recommande les Walmarts, où les prix sont souvent moins élevés qu’à IGA ou Metro. Vous y trouverez également de nombreuses offres promotionnelles et réductions sur les produits du quotidien. Un peu plus niche, le marché G&D, situé dans le quartier chinois, propose un large choix de produits, parfois à meilleur marché qu’en grande surface. Ils proposent même un service de drive et de livraison.

Ressources

ArriveCan : https://arrivecan.cbsa-asfc.cloud-nuage.canada.ca/fr/welcome

Logement :

YOU.com, un navigateur accompagné de son IA

YOU.com, un navigateur accompagné de son IA

YOU.com for Who ?

Utilisé au quotidien par un public d’utilisateurs varié, tant dans la vie privé que professionnel. Synonyme d’Internet pour la plupart des gens, les moteurs de recherches ou browsers en anglais ont su se rendre indispensables.
En effet, les moteurs de recherches sont très pratiques pour faire le lien avec le Web et toutes les ressources disponibles en ligne.

Qu’est-ce que You.com ?

Ce nouveau moteur de recherche respectueux de la vie privée tente de se faire une place aux côtés des géants tels que Google, Safari, Firefox ; au même titre que Tor pour les plus précautionneux de leur sécurité ou bien Ecosia pour les plus écologistes d’entre nous.

Depuis peu, les fans de nouvelles technologies sont en ébullition face à la montée en force des intelligences artificielles. Notamment ChatGPT qui fait énormément parler d’elle. ChatGPT est une interface de conversation avec l’utilisateur utilisant l’intelligence artificielle développé par OpenAI et spécialisée dans le dialogue.

Quelles sont les particularités de YOU.com ?

Comme vous l’aurez compris, You est un moteur de recherche avec sa propre intelligence artificielle prénommé YouChat.
En-dehors de YouChat, YOU propose à son utilisateur une façon de naviguer différente, avec un défilement horizontal et vertical possible, des sources croisées provenant de différentes applications tels que StackOverflow, Medium, Amazon, Twitter et bien d’autres.

Après quelques jours d’utilisations de YOU à la place de mon browser habituelle Google. Voici le retour, le plus objectif possible de mon expérience. L’interface est riche et propose un bon nombre de fonctionnalités tel que YouCode qui ciblent les réponses au domaine du codage. YouWrite fonctionnant de manière similaire pour l’ecriture du texte.

L’application dispose également d’un générateur d’image à partir de mots clefs grâce à une IA, moyennement efficace à mon gout, et de bien d’autres fonctionnalités que je vous laisse découvrir par vous même.
Quant aux points négatifs, selon moi, l’interface mobile est peu intuitive de prime à bord. Pour une personne n’ayant pas l’habitude d’utiliser des applications complexes; et ceux ayant une capacité d’adaptabilité assez faible tel qu’un public âgé; prendre YOU en main ne serait donc pas chose aisée et pourrait même s’avouer assez complexe.

Quel est le public visé ?

La surcouche d’intelligence artificielle joue un rôle important dans le choix par l’utilisateur de ce browser. Pour les personnes utilisant des navigateurs uniquement pour des recherches rapides ,You serait moins ergonomique qu’un navigateurs plus standard.
Cependant, les développeurs, étudiants, travailleurs ou même personnes ayant un fort attrait pour la technologie pourraient être davantage intéressés par un navigateur avec sa propre IA enveloppant un paquets de fonctionnalités.

Enfin, une Presentation de YOU.com par YouChat pour you :

Traduction :

 » YOU.com est une plateforme qui fournit des conseils et du contenu personnalisés pour aider les gens à trouver leur but et à vivre au mieux leur vie. Elle a pour objectif d’aider les gens à explorer leurs centres d’intérêt, à créer des objectifs significatifs et à se connecter avec d’autres personnes partageant les mêmes idées. Grâce à son moteur de conseils personnalisés alimenté par l’IA, YOU.com fournit aux utilisateurs des conseils personnalisés sur des sujets tels que la carrière, les relations, la santé et le développement personnel. En outre, YOU.com offre une gamme de contenus tels que des vidéos, des articles et des podcasts qui peuvent aider les gens à explorer davantage leurs intérêts et à s’inspirer. « 

YouChat